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 La forge et le forgeron au Moyen Âge

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Brigide

Brigide


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MessageSujet: La forge et le forgeron au Moyen Âge   La forge et le forgeron au Moyen Âge Icon_minitimeLun 11 Aoû - 22:56

La forge et le forgeron au Moyen Âge...

Le forgeron occupe, au Moyen Âge, un rôle de tout premier plan. Il réalise tous les outils nécessaires à l'agriculture (socs de charrues, lames d'outils...), mais aussi les clous, ferrures de portes, fers à cheval. Il a également en charge la création de l'attirail des soldats : casques, épées, armures...

Le métier de forgeron a alors atteint un très haut niveau de perfectionnement. Plusieurs métaux étaient utilisés, dont notamment le fer et l'acier.

Les forgerons officiaient généralement dans les villages, contrairement à la plupart des autres corps de métiers (tisserands, meuniers...) qui oeuvraient principalement à l'extérieur des villages. Le métier de forgeron se décline en différentes spécialités : maréchal ferrant, serrurier, faiseur de cercles, faiseur de charrue, maréchal, chaudronnier, maréchal des forges...


Mestre fêvre

Le mestre fêvre (nom du forgeron, en opposition à l'orfèvre qui travaille les métaux précieux) avait un rôle essentiel au Moyen Âge. Il confectionnait tous les outils nécessaires à l'agriculture (notamment les socs de charrues et lames d'outils), mais aussi les clous, ferrures de portes, fers à cheval. Il avait également en charge la création de l'attirail des soldats : casques, épées, armures, boucliers...

Le forgeron utilise un soufflet double : le soufflet est muni de 2 poches d'air qui fonctionnent simultanèment pour disposer d'air de façon continue. Le fer peut alors être monté à 900 degrès, pour modifier sa texture molléculaire et permettre sa mise en forme par écrouissage (marteau/enclume).


Le taillandier

Au Moyen Âge, le taillandier est un forgeron qui travaille en finesse. Il a en charge la production de tout ce qui est tranchant, de ce que l'on appelle les outils à taillants. Il travaille l'acier, en utilisant la forge pour chauffer le métal, ainsi qu'une gamme de marteaux et de pinces de forge.


L'haubergier

L'haubergier médiéval est le forgeron qui fabrique les hauberts. L'haubert est une cuirasse ancienne ou cotte de mailles treslie, destinée à la protection corporelle. La forme du haubert et celle d'une robe, en générale à manche longue, s'enfilant par le col. Afin de permettre la monte à cheval, les hauberts étaient en général fendus sur le devant ou sur le côté.

Fer ou acier ?

L'acier est du fer auquel on a ajouté du carbone pour le rendre plus dur lors de la transformation du minerai de fer dans les bas-fourneaux. En dessous de 0,025% de carbone, l'acier n'est pas de l'acier mais simplement du fer ! L'acier est un fer qui contient de 0,025% à 1,7% de carbone (on parle d'aciers doux et d'aciers durs selon les teneurs).
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Brigide

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MessageSujet: Re: La forge et le forgeron au Moyen Âge   La forge et le forgeron au Moyen Âge Icon_minitimeLun 11 Aoû - 23:27

FORGERON, oui mais c'est quoi au juste ?

Le métier de forgeron (forgeage manuel) est la forme de forgeage la plus rapide, la plus simple, et qui était autrefois l'une des premières méthodes de travail du métal.
Le métal à forger est d'abord chauffé au rouge dans le feu d'une forge, puis mis en forme à coups de marteau sur une enclume., puisqu'il était difficile d'obtenir une température suffisante dans les fourneaux rudimentaires, le fer ou loupe issu du minerai de fer n'était pas assez malléable et ne pouvait pas se couler dans les moules comme pour les bronze.


LA FORGE

La forge se compose d'un four en matériau solide et réfractaire (comme la brique), équipé d'un certain nombre d'arrivées d'air, ou tuyères, à travers lesquelles de l'air est introduit par des soufflets ou des ventilateurs. Le charbon de bois, le coke et la houille sont utilisés comme combustibles dans la forge. Le forgeron se sert de marteaux et de longues pinces pour les diverses opérations de forgeage.

Le forgeron est le père de tous les métiers des métaux. Il n'a pas de bannière, il prend un morceau de métal anonyme et le transforme à la demande, en un outil, une arme, un bijou, objet utiles ou décoratif etc., suivant les besoins de la Société à travers les siècles, le forgeron va prendre bannière (ou prendra le nom de son métier)

Faire des Chaudrons, c'est un Chaudronnier
Faire des Armures, c'est un Armurerie
Faire des Outils de Tailles, c'est un Taillandier
Etc.

Le maréchal Ferrand n'arrive qu'en 15ème position derrière le forgeron ce n'est pas un grade, en fait ce n'est qu'au Xème siècle qu'un forgeron fera son premier fer pour garnir le pied d'un âne, du bœuf, de la vache, utilisés pour tirer la charrue ou le tombereau et bien sur, sur le pied du cheval.


LE FORGEAGE EN QUESTION

D'une manière général, quelques types de forgeage de base :

écrasement, ou diminution de la longueur et augmentation du diamètre du métal

Une pièce métallique, appelée pièce à travailler, est écrasée lorsqu'elle est frappée sur sa longueur (par exemple à l'extrémité d'une tige ou d'une barre), ce qui la raccourcit et l'épaissit

L'estampage est réalisé par des coups de marteau sur le morceau de métal tenu sur l'enclume par l'un des nombreux outils concaves appelés estampes.

Le cintrage est réalisé soit par des coups de marteau autour d'une forme, soit en pliant la pièce sur un point d'appui.


Soudage ou assemblage de deux pièces de métal par semi-fusion (corroyage)

Lorsque l'on soude du fer, on envoie d'abord un flux, de borax par exemple, sur le métal chaud pour éliminer les oxydes à la surface des deux pièces! les pièces sont ensuite assemblées par martelage à haute température. Un joint soudé de cette façon, si cela est fait correctement, est entièrement uniforme et solide car il est aussi homogène que le métal de base, interpénétration moléculaire des grains du métal.


Perçage, pour faire de petits trous, la pièce est posée sur un élément métallique circulaire placé sur l'enclume et un poinçon de la forme voulue est introduit dans l'ouvrage par un marteau. Les trous plus grands sont faits avec des burins plus lourds et plus tranchants, semblables aux tranchets utilisés pour couper le métal à froid. La combinaison de plusieurs de ces opérations peut donner lieu à des forgeages d'une grande diversité de formes


C'est vers 5000 av. J.-C. que se situent les premiers témoignages de forgeage. Les pépites étaient martelées après avoir été chauffées à blanc, puis refroidies. Cette opération, répétée régulièrement au cours du martelage, permettait de conserver le métal à l'état malléable. La chauffe se faisait alors au feu de bois, qui servait également à la cuisson des poteries : on appelle ce procédé «!le recuit». Un martelage répété sans chauffage aurait rendu le métal trop dur et cassable, créant ainsi des fissures. Au Moyen Âge, pour donner davantage de solidité au fer forgé, on le trempait, après l'avoir chauffé, dans un bain.


Le décor sur le métal

La gravure et la ciselure

Sous le nom de gravure, on désigne plusieurs techniques décoratives permettant de réaliser des motifs linéaires en enlevant de la matière. Celle-ci est retirée à la pointe, au trait avec un burin, ou au champlevé. Dans la technique du champlevé, on retire le métal, non plus de façon linéaire, mais en surface. Au XVIIIe siècle, on mit au point le guilloché, gravure mécanique en général appliquée aux métaux précieux.

La technique de ciselure ne prélève pas de matière. Le métal est simplement relevé et frappé pour donner du relief à la surface. On distingue la ciselure au repoussé, la ciselure au mat et, à partir du XVIIIe siècle, la ciselure à la molette. Ces variantes dépendent de la forme des ciselets employés. La ciselure à la molette permet d'obtenir un décor plus régulier.

La dorure et l'argenture

Dorure et argenture permettent de donner un aspect précieux à un métal moins noble. Les procédés de placage ont évolué du simple martelage d'une feuille sur une autre à la dorure au mercure, puis à la dorure ou argenture par électrochimie. Dans le cas de la dorure au mercure, l'or ou l'argent était d'abord mélangé, sous forme de poudre, au mercure. Ce mélange était ensuite réparti sur la surface voulue, puis chauffé de manière à obtenir l'évaporation du mercure et à souder le métal précieux sur le métal d'origine. Technique dangereuse en raison des émanations de mercure, elle fut remplacée au milieu du XIXe siècle par le procédé électrochimique. Encore employée de nos jours, l'électrochimie permet de dorer ou d'argenter un objet en métal en le plongeant dans un bain dans lequel passe un courant électrique. Les molécules de métal précieux viennent se fixer sur l'objet.


Les différents métaux

La forme, la fonction et l'aspect des objets en métal sont largement déterminés par la nature du métal utilisé. Les métaux précieux (l'or et l'argent notamment) sont les plus malléables, tandis que les caractéristiques des métaux de base (cuivre, fer blanc, plomb et fer) et de leurs alliages (bronze, laiton et étain) peuvent être très variables.

Le bronze

Composé de cuivre rouge et d'étain, le premier alliage de bronze a vraisemblablement été fait au Proche-Orient dès le VIIIe millénaire. Mais la production ne semble s'être généralisée que vers 1500 av. J.-C. en Eurasie. On a toutefois retrouvé à Mycènes des armes en bronze ainsi que des objets décoratifs de petite taille datant de la première moitié du IIe millénaire. Plus aisé à couler que le cuivre, le bronze donnait des outils et armes de meilleure qualité. Sa faible malléabilité en revanche rendait impossible un travail au repoussé, par exemple. L'alliage fut affiné au cours des siècles et on sut très tôt que les meilleures proportions étaient un volume d'étain pour dix volumes de cuivre.

En Europe et au Moyen-Orient, le bronze était principalement utilisé pour fabriquer des armes et des outils tranchants — épées, lances, têtes de flèches, boucliers et haches —, ainsi que des récipients et des chaudrons. Au cours du Ier millénaire, le bronze fut très employé en Grèce, puis à Rome, comme élément de mobilier (trépieds, armatures de lits et de tables, lampes à huile, pieds de lampe) souvent décorés d'animaux ou de feuilles en relief. Dans l'art celte, le bronze battu servait à fabriquer des objets quotidiens dès le milieu du IIe millénaire.


Le cuivre

Le cuivre pur entre dans la composition du laiton et du bronze, souvent utilisé dans la fabrication d'objets quotidiens. Il a toutefois été plus employé dans la création artistique qu'on ne le pense. En témoigne une grande statue (v. 2300 av. J.-C., musée d'art égyptien du Caire) faite de feuilles de cuivre martelé et datant de l'époque du pharaon de la VIe dynastie, Pépi Ier (qui régna v. 2395-2360 av. J.-C.).


Le plomb

Utilisé pour ses propriétés isolantes davantage que pour ses qualités esthétiques, le plomb est un métal fragile qui doit être fréquemment remplacé. Les Romains disposaient, après le traitement de l'argent, d'une grande quantité de plomb qu'ils réutilisaient pour leurs toitures, les cercueils, les citernes à eau, les canalisations et la plomberie. Matériau très malléable, le plomb se travaille facilement. En Europe, au Moyen Âge, il fut utilisé dans la fabrication de sceaux et de monnaie pour certains objets du culte (crosses, calices, patènes, etc.) placés dans les sépultures de dignitaires de l'Église. Au XVIIe siècle, on appréciait les statues de jardin en plomb et ce goût se prolongea jusqu'au XVIIIe siècle. Sa résistance à l'oxydation en a fait un matériau privilégié en architecture (gouttières, encadrements de lucarnes, etc.).


L'étain

L'extraction de l'étain date de l'Antiquité. Les Romains notamment possédaient des mines à ciel ouvert dans certaines provinces de l'Empire, dans la péninsule Ibérique et les îles Britanniques. Le traitement, après préparation du minerai, permet d'obtenir trois qualités d'étain : l'étain «!claire étoffe!», composé d'une forte proportion de plomb (jusqu'à 40 p. 100), n'était pas utilisé dans la fabrication d'objets quotidiens. L'«!étain commun!», composé de cuivre, de bismuth et de plomb, et l'«!étain fin!», composé de 90 p. 100 d'étain, de bismuth, de cuivre et d'antimoine, sont en revanche utilisés dans la fabrication de vaisselle. L'étain fin est le plus beau des trois et devient brillant une fois poli. Ce métal est mis en forme au marteau ou fondu. On a trouvé quelques témoignages du travail de l'étain remontant au XIXe siècle av. J.-C. La Rome antique avait lancé une tradition féconde qui s'est toutefois éteinte avec la chute de l'Empire. Le Moyen Âge semble avoir délaissé son usage et l'on ne connaît pas d'exemples avant le XIVe siècle, excepté les calices et les patènes retrouvés dans les tombes de prêtres à Metz. On a conservé davantage d'objets de facture allemande, comme la cuve baptismale de l'église de la Vierge à Mayence datant de 1320 environ, ou comme les salières du musée de Cluny (Paris). Au XVIIe siècle, la France remit l'étain à l'honneur et on commença à parler d'une «!orfèvrerie d'étain!». Il est vrai que les motifs et les formes utilisés pour l'étain furent à partir de cette date copiés sur les pièces d'argenterie. Au XIXe siècle, l'étain connut une faveur toute particulière. Son aspect brillant, lorsqu'il est neuf, en fit un alter ego meilleur marché de l'argent pour toute une classe de la société


Le fer

Si l'on a retrouvé la trace d'un travail très précoce du fer météorique à Gerze en Turquie (3500 av. J.-C.) ou en Anatolie (v. 1400 av. J.-C.), il fallut attendre le VIe siècle av. J.-C. pour noter la présence d'une activité à grande échelle en Chine. Les Chinois furent sans doute les premiers à couler le fer. Ils se servirent en effet de supports en fer coulé dans la construction des pagodes, par exemple.

Au IVe siècle av. J.-C., le travail du fer indien était déjà réputé. Un des exemples les plus importants est sans doute le pilier en fer de la mosquée d'Altamsh à Delhi (8 m de haut pour 6 tonnes).

Peu utilisé en tant que matériau d'art par les Grecs et les Romains, le fer a surtout servi dans la fabrication d'armes. La production de lames de la vallée du Rhin notamment et celle des pays scandinaves ont longtemps été réputées.


LE FER DAMASSE était aussi utilisé pour la fabrication des lames des armes blanches, armes à feus et outils contribuant ainsi à leur décor et à leur beauté. Visible à l'oeil nu, une fois révélé à l'eau forte, l'effet de damassé, terme qui leur a été donné en raison du nom de la Ville de Damas, où les Européens les ont découvertes, lors des passages des croisades et non du lieu de leur fabrication.


La Damas provient de la superposition des couches de fer et d'acier pliées et repliées plusieurs fois les unes sur sur les autres, l'aspect fini, une fois poli, reproduit les différents mouvements du métal dans la disposition des couches diversement colorées des deux métaux, (métal doux = blanc, acier ou fer carboné = bleu).


Les armes fabriquées en Inde selon un procédé de fer forgé en feuilles présentent un effet semblable de rayures.


La réalisation de l'acier dîtes de Damas ou Sandwich prend toute sa signification dans la réalisation des couteaux, épées, c'est ici la preuve des recherches Alchimique des forgerons à travers les siècles tantôt perdu, tantôt retrouvé, aujourd'hui, on retrouve un engouement pour le Damassé.


Au Moyen Âge, la France semble avoir développé un art du fer forgé de grande qualité quoique nous n'en ayons que peu de témoignages avant le XIIIe siècle. On peut cependant citer les grilles de l'abbaye d'Ourscamp (conservées au musée Le Secq des Tournelles à Rouen). On connaît certains objets des XIIIe et XIVe siècles tels des chandeliers et des coffres témoignant d'un véritable art du fer forgé à destination ecclésiastique.

À partir du XIVe siècle, la ferronnerie, influencée par l'Italie, prend un essor nouveau. Les grilles des églises témoignent d'une inventivité hors du commun. Elles sont ornées d'un décor presque architectural à motifs végétaux ou animaux. À la Renaissance, c'est en Italie et en Espagne que se trouvaient les grands centres de ferronnerie. Au XVIe siècle, les ouvrages de serrurerie prirent en France une ampleur nouvelle, donnant des pièces d'une grande finesse. Au milieu du XVIIe siècle, la ferronnerie française prit un nouvel essor. C'est de cette époque que datent les premiers balcons, les rampes d'escalier, alors que le fer était encore considéré comme un matériau précieux. Parmi les plus belles réalisations de l'époque, il faut citer les balcons du premier étage de la cour de marbre à Versailles (1679), la grille du château de Maisons, aujourd'hui au Louvre (v. 1650). Au XVIIIe siècle, l'art de la ferronnerie s'orienta vers un raffinement toujours plus léger. Les créations se multiplièrent dans toute la France : à Nancy, place Royale, ou encore à Bordeaux, place de la Bourse. Le XIXe siècle et son inspiration néoclassique imposèrent des compositions plus sobres. Techniquement, on passa de la forge à la fonte. La fin du XIXe siècle et le tout début du XXe siècle furent marqués en Europe par un renouveau de la ferronnerie, lié à un intérêt des artistes de l'époque pour l'artisanat. On peut citer le travail de Victor Horta à Bruxelles, celui de Mackintosh à Glasgow ou celui de Gaudí à Barcelone. En France, Majorelle et Guimard renouvelèrent l'art du fer forgé.
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